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 Tyler [Solitaire]

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Tyler
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Nom: Tyler Durden
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MessageSujet: Tyler [Solitaire]   Tyler [Solitaire] Icon_minitimeSam 5 Sep - 12:02


    Partie I : Tyler.
    Nom : Tyler
    Surnom : Mister Anarchy Number One What a Face Tyler Durden
    Âge : Six ans.
    Quel Quartier: Hum, excellente question, à réfléchir, effectivement. J'imagine que je n'ai pas à y répondre.
    Rang :
    Dis - moi, mon cher, as - tu déjà entendu parler de la Liberté ?



    Histoire :

    Évidemment, les gens aiment se lever du pied gauche. Disons que c'est pas pour ça qu'on va être de mauvaise humeur. Enfin, si, un peu, mais pas directement. Voilà le truc, tout bête en fait : Le monde pense, par je ne sais quel petit malin qui a inventé ça un jour, que se lever du pied gauche allait nous mettre d'une humeur de chien. Donc, tout simplement, on va être d'un sale petit humour et d'une sale petite tête toute la journée. J'adore me lever du pied gauche. Comme ça, personne ne m'approche, personne ne me touche, personne ne me parle. Sinon, je les envoie chier avec tant de force... En fait, je suis comme ça, même si j'oublie de me lever du pied gauche. Je me présente ? Peut - être... En fait, pourquoi ? On m'a toujours dit qu'il ne fallait pas parler aux inconnus. Moi qui n'avais jamais respecté la règle, c'est un bon moment pour le faire. Il y a un début à tout, vous dis - je. Mais c'est vous. Oui, vous, avec vos têtes d'ahuris qui regardez une mouche se prendre dix mille et une fois la vitre d'une fenêtre. Et vous, vous êtes pas capables d'ouvrir la fenêtre pour laisser sortir la pauvre bête. Vous êtes de vrais connards, en fait. Enfin... Je sais, il y a un début à tout, et blahblahblah, et blahblahblah. Et ben ce sera pour autre chose, le début. Aujourd'hui je sais ce qui a eu un début. Mais aujourd'hui seulement. Booon... Je m'appelle Frelon, et, par Ô Hasard magnifique, mon nom me convient parfaitement. Je suis un sale insecte. Je suis la petite écorchure au coin de la lèvre qui ne peut cicatriser que si vous arrêtez de la lécher. Et, malheurs parmi les malheurs, vous ne pouvez pas vous stopper. C'est con, hein ? Et bien oui. C'est con. Et c'est pas de ma faute, si je suis comme ça. Le méchant petit fauve, méchant petit... J'imagine très bien mes parents être comme ça, le jour de ma naissance : « Oooh, mon chériii, regarde ! Nous avons un fils ! » « Comment l'appellerons - nous ? » « Frelon. » « Euh... Pourquoi ? » « Parce que, mon chéri. Tu ne vois pas ses rayures jaunes et noires ? Et ses ailes ? » « Ah mais oui ! C'est merveilleux ! » Ne vous marrez pas, mes parents en sont capables. Alors arrêtez, s'il vous plait, de rire alors que ça ne sert à rien. Et c'est bien pour ça que je les déteste. Eux et ma petite sœur. Celle - là, c'est une plaie, grosse comme le croc d'un chien. Elle m'énerve, mais à un point pas possible. En fait, elle m'aime trop. Pour elle, je suis son petit bout de chou, son papillon sautillant, sa saucisse magique... Et j'en passe. Enfin... elle était encore petite, je pouvais comprendre. Mais mes parents, quand même. Eux, ils sont les excentriques de service, ceux qui ne font jamais comme les autres. Mon père, c'est M'sieur Peace and Love en personne. C'est « Naaan Frelon, sois cooool avec tes prooiiiies. Tue - les viiiite, sans les faire souffriiiir... » On aurait pu croire à un drogué, mais les chats ne prennent pas de drogues. Ma mère, par contre, c'est : « KEUWAAAAAH ???????????? TU N'AS PAS FAIM ? TU ES MALADE ? TU VEUX QUELQUE CHOSE MON FRELON ? JE T'EN PRIE, DIS - MOI TOUUUUUT !! ». Je ne lui dirai rien, parce que sinon, je ne peux pas survivre. Être chouchouté par ses parents, ça n'apporte rien de bon, je vous le garantie. Je n'arrive plus à avancer dans la vie, parce qu'ils sont là pour me dire que je suis mignon, gentil, et tout le reste. Je ne suis rien de tout ça, et je l'assume complètement. Écoutez bien : JE NE SUIS PAS GENTIL. Et même si je peux paraître sympa de loin, je ne le suis pas. Un frelon, c'est un putain d'insecte. Alors dégagez, pitié. Mon père, ma mère ne comprendront jamais. En fait, il y a une barrière anti - véritable Frelon. J'en ai marre d'eux. En fait, je voudrais partir loin d'ici, mais des choses me retiennent prisonniers. Petits Connards de Merde, j'en ai ma dose de tout ça. Il faut que je quitte ce monde. Leur petit monde, en fait. Un monde artificiel et familial où la liberté n'est pas la bienvenue. C'était décidé, je pourchasserai la liberté là où personne ne l'a jamais trouvée. Et si je ne la trouve pas, j'irai autre part. Mon Dieu, et dire que j'ai encore un an et demi...

    Et c'est là que le Chaos envoûta mon esprit. Je semais la Confusion partout où je posais les pieds. L'Anarchie.


    Physique & Mental :

    > Physique :

    Vous voyez les aigles noirs dans le ciel bleu azur ? Visualisez leur grâce, leur style, leur perfection, toutes leurs plumes sombres, leur silhouette à contre - jour sous le soleil. Maintenant, voyez ce chat qui les observe, ce félin fauve qui se tient bien droit, lui qui ne veut pas être vouté lorsque l'heure de sa mort viendra. Cet animal à la carrure puissante, mais toujours avec ce corps svelte et fin, qui se mouve avec fluidité et sans peine. Lui, c'est le héros de mon histoire. Celui dont je ne veux pas citer le nom.

    Lui, avec ses iris dorées, flamboyantes et immenses, deux lucioles, deux papillons qui s'ouvrent à la lumière du jour. Sur l'ombre grande qui se découpe sur la lune, les deux flammes qui vous fixent avec insistance et pourtant, avec cette dose originale de tranquillité. Comment ne pas être attiré par cette couleur jaune ambrée magnifique. La couleur d'un œil de chat. Pour moi, tout les chats avaient les yeux jaunes, mais pourtant, j'ai appris que les iris pouvaient varier, dans des tons peu communs, tel que le bleu cobalt, le vert azur ou le violet pourpre. Mais qui ne trouve pas que le jaune d'or pour des iris de chat convient parfaitement ? Je ne voulais pas qu'il soit trop différent, le voilà avec ses yeux simples et ambrés...

    ...et sa fourrure fauve. De la race des abyssins - abyssin chocolat pour être très précis -, il possède un pelage brun clair doré, couleur d'une crinière de lion. Oui, un fauve marronné, un ton d'écorce de chêne éclairé par un soleil étincelant. Des poils... comment dire... flamboyants. Voilà un chat assez basique, mais pourtant doté d'une originalité sans faille. Étrange, n'est - ce pas ? Cependant, c'est vrai que le pelage fauve n'est pas trop trop courant non plus. Moins que le poils gris rayé noir ou le roux blanc crémeux. La fourrure fauve, c'est au même stade que la crème. Pas très courant, mais on en voit parfois. Tout simplement. De plus, ses poils sont assez courts, sans être à ras de sa peau. Sa queue semble assez longue et son corps est élancé, grand, ce qui est peut - être dû à son statut de « haut - sur - pattes. »

    Bienvenue dans le chaos.

    > Mental :

    Il est déjà d'un charisme étonnant, et laisse les gens l'approcher, tranquillement, parfois pour les amadouer, ou pour tout simplement se lier avec eux. Il n'a jamais réellement connu l'Amour, c'est - à - dire être attirer physiquement ou psychologiquement par une personne du sexe opposé. On sent qu'il ne se laisse pas avoir tout le temps par n'importe lequel des idiots qu'il rencontre. D'ailleurs, personne ne le connait vraiment, car il ne veut pas qu'on parle de lui aux autres. Si vous e rencontrez et qu'il vous offre son identité, préparez - vous à jurer de ne jamais prononcer quoique ce soit en rapport avec lui à Autrui. Pourquoi fait - il cela ? Aucun ne sait vraiment. Après tout, Chaos est un chat assez mystérieux, mais il attire l'attention. Il aime une chose, un chose qu'il suivra jusqu'au bout du monde, et pour laquelle il serait prêt à tout sacrifier... sa Liberté. Ne le provoquez pas et ne le menacez pas sur ce point - là, ou préparez vous à mourir.

    Son royaume est le Chaos, tout simplement, d'où son nom. La Confusion. L'Anarchie, si tu veux. Il aime passer inaperçu, bien entendu, et il prend plaisir à faire mal et à se faire du mal. Le sadique masochiste. Oui, le voilà. Mister Anarchy Number One. OUI, LE VOILA !!! Notre philosophe chaotique, notre solitaire désastreux. Celui qui aime sortir des phrase intelligente et bien construites. Il possède un humour qui lui est propre et qui n'est pas forcément compréhensif aux yeux et aux oreilles de tous. Son esprit excentrique et fou ne l'empêche pas de devenir quelqu'un de sympathy... euh, non, sympathique ne serait pas vraiment le mot approprié pour parler de Tyler. Est - il narcissique ? Orgueilleux ? Oui, sûrement un peu. Mais tout le monde l'est, non ? Autrement dit, personne ne l'est. On peut retrouver des péchés capitaux dans son âme, en omettant la luxure - pour un chat, ça ne serait pas très commode - et l'avarice - pour lui, les chose que l'on possède finissent par nous posséder. Alors il n'a rien, pour être complètement libre. Donc à quoi ça lui servirait d'être avare, dîtes - moi ? -. Gourmand, il l'est un peu, tout de même, comment ne pouvons - nous as l'être. C'est un peu un être comme les autres. Seulement, il est le seul Tyler de l'Univers - et bien non, il y a celui de Fight Club -. Paresseux, qui n'a jamais eu envie de rester coucher lorsque le soleil nous glisse sur le corps et que la température ambiante est très agréable ? Colérique, oui, avec des personnes bien définies. Envieux, évidement. Il a envie d'être libre, il rêve d'être comme un Dieu sur son nuage, qui regarde le chaos qu'il a créé là, en - dessous de lui. Orgueilleux, et c'est avec ceci que l'on a commencé à parler des péchés capitaux. Ne vous croyez pas seul dans un monde parfait. Vous êtes en plein milieu d'un enfer permanent, mais vous êtes tellement mauvais que pour vous, ce monde infernale est normal.

    J'ai perdu mon âme et mon esprit avec mon passé.

    Goûts :



    . Q
    ualité >Que dire ? On pourrait croire qu'il n'a pas de qualité. Et bien si, il en a. Quand même. De toute façon, c'est obligatoire. Deux lignes minimum, n'oubliez pas. Aussi puis - je dire qu'il sait quoi faire dans des moments où un chat un peu simplet, ou tout simplement normal se ferait détruire la face. Oui, car voyez - vous, Monsieur n'est pas normal. Il arrive à être très discret et passe inaperçu aux yeux d'une sentinelle d'élite - enfin, plutôt une sentinelle toute simple, parce que l'élite, il l'élimine, point barre. - Sa philosophie lui permet d'être classé dans les chats qui savent quoi dire et qui ne bredouillent pas un truc bidon devant un aîné. Enfin, vu son âge, c'est lui l'aîné. Aussi sait - il être un véritable chef, très autonome et qui ne se laisse pas marcher sur les pattes à la moindre petite faille.

    . Défaut > Monsieur est un sadique. Un pervers, masochiste, d'un humour mauvais, et qu'est - ce qu'il peut être désagréable et chiant. Il aime se moquer des autres et avoir le dessus, enfin, avoir raison. Il aime le désordre et le chaos, la mort, la vie, et ferait n'importe quoi pour rester libre, même s'il doit passer du côté obscur de la Force, malgré les avertissements de Yoda. S'il s'y met, on ne peut pas l'arrêter. Aussi aime - t - il se démarquer, ou plutôt ne pas faire comme les autres et contredire une décision déjà prise simplement pour énerver le monde. Quoique le plus souvent, c'est lui qui prend les décisions. Schizophrène, hein ? Ouais, bien entendu. Le côté « gentil » entre des guillemets de un kilomètre de long, « M'sieur le Solo qui ne se montre pas », et le côté « bad boy », Tyler. Prend - il plaisir à tuer ? On prend plaisir à faire son travail, non ? Alors ne lui reprochez rien, bande d'ignares.

    Partie II : YelLoW

    > PUF : Yellow
    > Où as-tu découvert TC ? : Sur Cat - Life, la belle Pub de Part'naire <3
    > Veux-tu de l'aide dans tes premiers pas ? : Nan, merci quand même, hein ? =3
    > Aimes-tu ce forum ? : Pour l'instant, je ne peux rien dire, si ce n'est qu'il a l'air super classe, et que le design est absolument magnifique *w* J'espère qu'il ira loin.
    > Autre chose à rajouter dans l'ensemble de ta présentation : Ouais, je sais, c'est carrément du copié - collé de CL, mais vous acceptez quand même ou pas ? x] Ah oui, et aussi, vu que je savais pas où poster ma Présentation, bah j'l'ai faite ici ^_^
    > Les codes : Oki, By Puce Very Happy <3
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MessageSujet: Re: Tyler [Solitaire]   Tyler [Solitaire] Icon_minitimeSam 5 Sep - 12:03

    Mon âme passait de l'autre côté de la vie. Et n'en revenait pas. Je voyais le décor changer autour de moi. Tout devenait plus différent. Et peut - être qu'en fait, c'était moi qui changeais et que le décor me trouvait bizarre et il m'évitait. Okay, c'est vrai que c'est un peu improbable qu'un décor se comporte en parfait être vivant. En tout cas, ma famille commençait à comprendre que quelque chose clochait en moins. Même ma mère ne m'approchait plus vraiment. Aaaah, enfin un peu de liberté avec elle. Et puis je pensais à la mort, juste devant un torrent énervé. Je me disais que si je mourrai ici, j'irais au ciel pour l'éternité. Ouwah. J'avais grave envie d'avoir des ailes et de pouvoir aller partout partout où je voulais aller. En vrai, en regardant cette rivière, je voyais mon reflet qui se transformait. Mon âme se métamorphosait, oui. Une philosophie étrange s'imposait. Je ne pouvais pas la stopper. Je ne voulais pas. Et c'est devant cette rivière que le papillon est sorti de sa chrysalide. Je devenait celui que j'avais toujours rêvé d'être. Et c'est lui qui avait donné ce nom. Le nom que je prononcerai plus tard, lorsque le moment sera venu. Oui...

    « Le premier pas vers la vie éternelle, c'est que tu dois mourir. »

    En gros, c'est tu dois faire des sacrifices pour avancer. Classe. Macabre, mais classe. Les gens ne vont pas compter sur eux - même. Ils vont se dire que tu vas être là, pour eux, pour les sauver et leur porter secours. Parce que si tu ne le fais pas, tu vas t'en vouloir toute ta vie. Les gens sont des connards. Les gens savent te faire mal. Les gens, je les hais, et ils me haïssent tout autant. Et si tu les aimes, ils commencent à t'emprisonner dans une cage d'« amour ». C'est surtout pour t'avoir en réserve, au cas où. Comme avec mes parents qui m'empêchent d'être là où je veux être. C'est le même style. En plus hard, en plus chiant, en plus mauvais, en plus salaud, en plus dégueulasse.

    « Les choses que tu possèdes finissent toujours par te posséder. »

    Vie à la con. Monde de merde. Désordre et anarchie; Le bordel, quoi. Ouah, je me lâche, je fous des tas de vulgarités dans ce que je dis. Je l'ai bien mérité.

    Et si tu décides de tout abandonner, pour tout refaire, en parfait ? Si tu décident de tout perdre, pour tout gagner ? Là, mais là, tu es vraiment libre.

    « Ce n'est que lorsque tu as tout perdu que tu es libre de faire ce dont tu as envie. »

    Bienvenue dans mon monde. Je ne suis plus Frelon à présent. Je suis celui qui se libère de ses chaînes, celui qui part. Et celui qui ne revient pas en arrière. Maman, Papa, Sœurette, vous allez mordre la poussière.

    J'en ai marre de tout. Mourir pour revivre, ça, c'est parfait. Il fallait que a mort vienne hanter mes pas. Mais pas la mienne. La leur.

    J'ai commencé par mon père. Il fallait que je sois en pleine forme pour l'achever parfaitement, dans un élan de profonde sincérité. Je n'étais plus leur fils, j'étais... Je ne sais même plus qui je suis réellement. Je m'approchais de lui et le réveillais. Il me regarda, surpris. Je voulais voir sa peur lorsque ses yeux se fermeraient. Je mesurais bien une tête de plus que lui. Il se leva, et me dit : « Frelon ? Tout va bien ? » Je lui répondais que non, qu'il fallait aller au fleuve, maintenant. Sinon, plus jamais je ne pourrai dormir convenablement. Il me suivit dans l'ombre, sans mot dire, mais il savait qu'il se tramait quelque chose. Arrivés au courant, j'ai plantés mes yeux dans les siens et je me suis reculé vers la forêt. Il était endormi, ce serait encore plus simple. Il me suivit de ses pupilles vertes, jusqu'à ce que je m'arrête. Et il haussa les épaules. « Et bien, quoi ? Que ce passe - t - il ensuite ? ». Il avait l'air de vouloir poursuivre la discussion, et nous l'avons poursuivi. Je sortais mes griffes silencieusement, il ne se doutait de rien. La nuit et l'ombre m'accompagnaient, et, discret comme une plume, je m'approchais de mon géniteur. Et, bondissant sur lui, je l'expulsais dans le fleuve. Son cri de peur fut englouti par l'eau qui s'engouffrait dans sa gueule. Il parvint à s'accrocher à la rive, en hurlant mon nom. Je lui griffais profondément les pattes et son sang se rependit autour de moi. Son corps fut emporté dans le courant, et je le regardais mourir au loin. J'avais trouvé que tuer quelqu'un se résumait à un tâche très facile? Plus facile que je l'aurais cru, en tout cas. Plus que deux ? Ouais, enfin... bref.

    Ma mère, démoralisée lorsque je lui ai dit que mon père était mort, ne comptait plus que sur moi. Je l'ai tuée à coups de griffes et de crocs, elle ne s'était pas défendue. Parfait, je m'en fichais, de toute manière. Ce fut rapide, tranquille. Et plus que ma sœur.

    Celle que j'avais gardé pour compléter mon chef - d'œuvre. Voilà qu'elle venait fondre en larmes, au creux de mes pattes. Elle me disait que nous étions morts, que nous ne pouvions survivre sans eux. Puis elle s'est enfouie dans mon pelage, une peluche, un proie, si tentante que je ne résistais pas. J'enfonçais mes crocs dans la chair tendre de sa gorge, pendant qu'elle me disais « Frelon... j'ai mal... et toi ? ». Non, je n'avais pas mal. Je bus quelques gorgées de son sang, délicieusement acide et sucré. Puis je la laissais, encore vivante, mais elle ne tarderait pas à mourir.

    Et voilà que mon chemin devenais plus libre, mes pattes s'en allaient partout où je pouvais être transporté. Enfin... Je me retrouvais, par une nuit d'hiver glacial, sans proie, sans abri, et surtout, bientôt sans vie. Oui, car la Liberté n'apporte pas l'immortalité. Je m'endormais, en plein milieu d'un trottoir glissant et glacé. Oui, j'allais mourir. Mourir. Mourir. Et personne ne serait là pour assister à ma chute. Putain de merde.


    Et quand t'es sur le bord de la mort, tu fais quoi ? Tu vas chanter du Nirvana sur le mont Everest. C'est ce que j'ai fait. Vous pouvez pas savoir comment le voyage fut long. Mais bon, on ne peut pas faire tout ce que l'on veut comme ça, sans faire un petit effort. Et ouais les gens. J'arrivais enfin en haut de l'Everest et criais « Come, as you are, as a friend... ». La vie, je l'emmerde, comme c'est pas possible. Et c'est qu'un putain de rêve. Marre. Marre. MAAAAARREEEEEE !!!!

    J'ouvrais les yeux. Devant moi, un regard marron chocolat au lait, derrière des cheveux noirs bien gras. Une peau pâle et crayeuse. C'était un humain. Oh, et puis merde.

    « MAMAAAAAAN !!!!! Tyler est réveillé ! Oh Yeeees ! Il viiiiit ! »

    Ouah, Tyler ? Mon nom. Ouais, cool. Un nouveau nom. Et au début, je savais même pas ce qu'il voulais dire. En fait, c'est dans le Film Fight Club. C'est l'histoire d'un gars qui a des insomnies, et pour pouvoir dormir, il va à des groupes de soutien de cancers. D'abord celui des testicules, et puis après, bah... tout les cancers. Et il se rend compte que pleurer le fait dormir. Alors il pleure, il pleure, et tout va bien. Et il rencontre une fille, Marla Singer, qui va aussi au groupe de soutien des cancers. Et en fait, elle l'empêche de pleurer, et donc de dormir. Ils décident donc ensemble de se partager les groupes de soutien.

    Le gars revient d'une affaire, et pendant le voyage, il rencontre Tyler Durden, un vendeur de savon charismatique complètement tordu à la philosophie anarchique. Lorsque son appartement explose, à cause d'une dynamite - il apprend qu'elle fut artisanale par la suite -, il décide de vivre avec Tyler. Ensemble, ils vont créer un club de combat clandestin et international dont les deux premières règles sont les plus célèbres :

    Règle n° 1 : Tu ne parles pas du Fight Club.
    Règle n° 2 : Tu ne parles pas du Fight Club.

    Le film magnifique de David Fincher avec Brad Pitt, merveilleux, tout comme Seven et bien entendu The Curious Case of Benjamin Button.

    Tyler, le nom rêvé pour un chat comme moi. Et j'ai rêvé de ce nom toutes les nuits. Et vu que je dors deux, voir trois heures au grand maximum par nuit, j'en rêvais aussi le jour. Vous savez, lorsque l'on est tranquille en train de marcher et puis on monte sur le toit d'un immeuble - qui s'avère être une fabrique de savon, en fait - et que l'on s'installe sur ses pattes, la queue enroulées autour, sans bouger, en attendant que quelque chose vienne à toi. Mais le truc, avec les gens comme ceux qui vivent dans notre monde, c'est qu'ils ne vont pas se bouger. C'est toi qui dois aller jusqu'à eux.

    J'emmerde le monde. Au plus profond de son existence.
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MessageSujet: Re: Tyler [Solitaire]   Tyler [Solitaire] Icon_minitimeSam 5 Sep - 13:39

> Owhh !!! C'est Yellow Chériie !! <3 Ohww sache que tu seras engagée si tu fais une demande pour rejoindre une partie du Staf chérie ! <3
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MessageSujet: Re: Tyler [Solitaire]   Tyler [Solitaire] Icon_minitimeSam 5 Sep - 19:32

    Waah, déjà ? Bah, Okay, moi, j'veux bien ^_^ Je ne peux refuser une telle offre *w*

    Bon, j'vais essayer de me faire un beau petit kit, si j'arrive enfin à héberger mes créations x]
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MessageSujet: Re: Tyler [Solitaire]   Tyler [Solitaire] Icon_minitime

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